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Et les enfants pleuraient
(demain, je vais traduire cette belle mélodie...triste oui...
mais qui rend tellement le climat qui règne actuellement)
Et les enfants pleuraient
Dans les attaques enflammées
d'une puissance de feu
technocratique
Parmi les puissants explosifs,
les systèmes téléguidés informatisés
Dans un crescendo d'enfer
et les desseins du diable
Une nation rejoint
le rang des despotes
Un chef d'état désespéré
lance l'ordre à tous
de venir à son secours
Le dessein du diable:
changer l'histoire
pour son profit personnel
Deux milles livres
de puissants explosifs
sur la tête d'un enfant
Innocence brûlée et torturée
Victime
de la folie des grandeurs
d'un homme
de son objectif
de sa manipulation
de sa folie
Les pitoyables gémissements
des enfants
brûlant dans son enfer
Les protestations du peuple,
des parents
Les amants de la paix
et la bienveillance des autres
ceux dont les conseils
n'ont pas été compris
seront restés non entendus
Dans la frénésie
des puissantes flammes
Le mal contre le mal
Les enfants pleuraient
dans la douleur
et l'angoisse de la terreur
Décembre le 19, 1998
Michael David Coffey
Traduction par Yabaly
Janvier le 2, 1999And the children cried
In the fiery onslaught
of a technocratic firepower
Amid the high explosives
and computerized
guidance systems
In hell's crescendo and
the devil's design
A country
joined the ranks
of despots
A desperate leader
issued the order
to redeem himself
To try and change
direction
The devil's design to
alter history
for personal gain
Two thousands pounds
of his explosives
on a child's head
Burned and tortured innocence
Victim
of a man's delusions Grandeur
his aim and manipulation
his folly
And the pitiful whimpers
of children
burning in his hell
The protests of the people,
the parents
The peace lovers
and the caring
Unheard, unheeded
In the frenzy of firepower
Evil against evil
And the children cried
December 19, 1998
Michael David Coffey
traduction de la mélodie
aussi fidèle que possible....
MAD WORLD
Tout autour de moi des visages familiers
Des endroits dévastés, des visages dévastés
Pétillants et hâtifs
pour leur courses folles quotidiennes
Allant nulle part, allant nulle part
Leurs lunettes plein de larmes
Sans expression, sans expression
Me cacher la tête, noyer ma peine
Pas de lendemain, pas de lendemain
Et je trouve étrange, je trouve triste.
Les rêves dans lesquels je meure
Sont les plus beaux que je n’ai jamais faits
Je trouve difficile de vous le dire
Difficile à accepter
Quand les gens courent sans fin en rond
C’est un monde tellement fou
tellement fou.
Les enfants attendent le jour
Où ils se sentiront bien.
Bonne fête, bonne fête
Fait pour que les enfants se sentent
tous comme ils le devraient.
S’asseoir et écouter, s’asseoir et écouter.
Suis allé à l’école et j’y étais très nerveux.
Personne ne me connaissait,
personne ne me connaissait.
Bonjour monsieur le professeur…
Quelle est ma leçon?
Regarde moi profondément...
Un monde fou, un monde fou…
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